voila la suite ,j'ai publié trop tot désolé donc

voila la suite ,j'ai publié trop tot désolé

donc j'avais les chaussettes remplie de boue , et j'aurais put éclairer Lavelanet avec mes ampoules . Le final se fera en passant au dernier ravito a

roquefort les cascades  plus que 11kms et c'est la fin il me tarde d'arrivée mais sans plus j'ai pas si souffert que ça en fait de compte un peu dans un état

segond . arrivé sur les derniers  kilomètres je demande a un coureur combien il reste et il me dit ,tant que tu n'as pas vu la vierge tu n'es pas arrivé.

Il avait raison parceque a Lavelanet quand vous avez vu la vierge il vous reste 500m a faire avec cette fameuse descente que j'avais vu dans les vidéos

ben là c'était moi qui y était . 12h38mn de bonheur, de solitude,de doute , vous avez le temps de pensait a des tas de choses pendant la course,

une seule m'est revenu le plus souvent ,c'est plat tu cour , ça monte tu marche, ça descend tu cour  .

merci a mes deux compères du jour et a mes 3 femmes

didier

Comments

[dleroy]

Bravo les gars, Encore une belle experience en memoire... Peutimporte le temps pourvu qu'il y ait livresse! Après une longue absence je reviens dimanche;

[Bertrand]

Très bon récit. Mais c'est à Fougax que nous nous sommes retrouvés.

Effectivement, il y avait beaucoup de boue qui après infiltration dans les chaussure s'amalgamait en boulettes sous les chaussettes. Après la course, j'ai jeté les chaussettes, elles étaient usées sur le dessus des orteils et étrangement, la peau des pieds n'en a pas souffert.

Par contre la fin de course était moins boueuse que d'habitude.

Ca a été sympa de courir ensemble, j'avoue que j'ai cru un bon moment que je laisserai les deux autres caffeurs derrière, mais la course est longue, je pense que j'ai eu des périodes avec un rythme trop rapide, surtout dans les zones glissantes où il est difficile de faire autrement, c'est la difficulté de cette course, et comme d'habitude j'ai eu mon coup de mou vers Roquefort.

A refaire, pour arriver en dessous de 13 heures.

Pascal Ber